Facebook peut utiliser tout ce que vous écrivez, même si vous ne le publiez pas | La solution

16 Mai

Que se passe-t-il lorsque vous écrivez un statut Facebook ou que vous commencez à commenter sous une photo Facebook d’un ami, mais qu’après un peu ou beaucoup de réflexion vous décidez de ne pas publier ce message ?

De votre côté, rien ou presque : vous supprimez le texte, vous fermez l’onglet et vous passez à autre chose. Du côté de Facebook, en revanche, tout ce que vous avez écrit, mais que vous avez finalement choisi de ne pas rendre public, est sauvegardé et peut être analysé par les équipes du réseau social, révèle un article de Slate du 12 décembre.

Vous n’êtes pas à l’abri de l’espionnage sur internet, encore moins sur Facebook. Tous vos données privées ne le sont pas vraiment sur Facebook.

Tous les contenus que vous partagez avec vos amis sur facebook dans les messages privés, les groupes privés sont potentiellement lu

Une solution: Datarmine

Datarmine, acronyme de « Data are mine », il vous permet chiffrer automatiquement toutes publications « Datarminées » et les rendent déchiffrables que par vos amis Darmines ou de confiance. Facebook ne verra que du charabia.

C’est une extension gratuite pour navigateur qui vous permet d’utiliser facilement des algorithmes complexes de chiffrement asymétrique. En utilisant datarmaine, vous empêchez vos réseaux sociaux préférés d’avoir accès à vos publications et archive, vous décidez qui de vos amis pourra la lire, et pendant combien de temps.

Avec Datarmine, reprenez en main votre vie privée et N’oubliez pas que ce que vous publiez aujourd’hui peut se retourner contre vous demain. Quel que soit le réseau social, ne laissez aucune trace, décidez de qui pourra déchiffrer vos publications et de la durée de vie de vos publications.

Pour l’instant seule la version Chrome du Plu-gin  existe et installable depuis votre ChromeStore sur le lien Datarmine Install (Chrome)

 Vous trouverez une bonne documentation sur le site de l’éditeur Datarmine

Astuces informatiques|Installer Quantum GIS sous Linux Ubuntu

4 Mar
Quantum GIS sous Linux Ubuntu

Quantum GIS sous Linux Ubuntu

Quantum GIS ou simplement « QGIS » pour les habitués, est un Système d’Information Géographique (SIG) convivial distribué sous licence publique générale GNU. C’est un projet officiel de la fondation Open Source Geospatial (OSGeo). Il est compatible avec Linux, Unix, Mac OS X, Windows et Android et intègre de nombreux formats vecteur, raster, base de données et fonctionnalités.

Il s’agit concrètement d’un logiciel de traitement de données SIG en vu d’en faire des cartographies numérique ou sur n’importe quel support.

Passionné du libre, je viens partager avec vous quelques astuces pouvant vous faciliter l’installation de ce logiciel « en ligne de commande » sous Linux Ubuntu. Cette méthode marche très bien avec la version 12.04. J’avoue que je ne jamais essayé avec les versions supérieurs ou inférieurs au 12.04; peut-être que ça peu marcher ou pas.(PS: merci de publier en commentaire si cela marche ausi avec d’autres versions de linux ou pas)

Alors voici comment procéder:

1: Ouvrez le Terminal de votre linux Ubuntu et entrez les lignes de codes suivants

sudo apt-get install add-apt-repository

sudo add-apt-repository ppa:ubuntugis/ubuntugis-unstable

sudo apt-get update

sudo apt-get install qgis

L’installation ne prendra que quelques minutes et c’est Ok.

Bientôt l’impression 3D au service de la médecine au Togo

1 Jan

Une délégation du WɔɛLab Lomé dans les locaux du Centre National d’Appareillage Orthopédique (CNAO) de Lomé

L’idée est de permettre à l’équipe du Woelab de faire une prise de contact avec les outils traditionnels médicaux en vu d’identifier une première pièce médicale qui sera directement fabriquée et d’imaginer les améliorations que peut apporter l’impression 3D dans le secteur de la santé en Afrique pour la réalisation de prototype concret de ces outils.
Cette première visite marque le début d’une série de prospection et de concertation du WoeLab et des professionnels de la santé au Togo dans leur volonté commune de mettre le Togo à l’avant garde de la révolution 3D dans le domaine sanitaire au Togo.

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En prélude à cette première visite de prospection, le WɔɛLab à organisé le Vendredi 27 Décembre 2013 à Lomé, la première table ronde autour du thème de l’impression 3D et ses applications dans le domaine médicale en Afrique. Cette conférences à réunie des makers et d’une quarantaine de membres de l’élite médical togolais.
A la fin du débat, trois (3) recommandations ont été adoptées dans le but d’avoir des idées précises afin de passer aux choses concrètes pour la suite de l’initiative : 1.) Il s’agit d’identifier une première pièce médicale qui sera directement fabriquée, 2.) Aller à la préférence de l’impression sur mesure selon les besoins et exigences du client,
3.) Développer un plan d’affaire pour le projet.En d’autres termes, créer une Start-Up qui va s’occuper de développer la fabrication des outils médicaux et d’organes humains pour des malades qui en ont besoin.

BootWɔɛCamp 2O13: le grand rendez-vous des communautés Makers d’Afrique, c’est du 27 au 29 Décembre à Lomé

22 Déc

BootCampLomé 2013

WɔɛLab organise la seconde édition de son gros événement de fin d’année: BootWɔɛCamp! Le grand rendez-vous des communautés Makers d’Afrique. L’édition de cette année se tiendra les 27, 28, 29 Décembre 2013 à ESGIS de Lomé quartier Bè, sur la Rue de l’OCAM. Sont attendus à Lomé pour l’événement, une cinquantaine de jeune makers d’Afrique et de ces environs, provenant d’une dizaine de pays.
Le BootWɔɛCamp ?
Atelier participatif de bricolage et fabrication de machines de tous genres avec des petits moyens (robots, ordinateurs, imprimantes 3d, jouets etc.), le BootCamp est un événement panafricain qui se veut le rendez-vous des communautés Tech et Makers de tout le continent. Trois jours d’ateliers intensifs, de conférences et de démonstrations.

La participation à cette fête internationale de l’innovation technologique et du partage de connaissance , est libre et gratuite à toute le monde. Seule condition: pas de spectateurs au cours de l’événement. Tous les participants doivent s’impliquer dans au au moins un des projets développés sur place et en équipe.

Un togolais bouleverse le monde de la téléphonie et des télécoms

29 Nov

Une technologie qui permet de distribuer les services de téléphonie, Internet et images, sans recourir au moindre câblage. C’est l’étonnante invention d’un Togolais de la diaspora africaine en France, Victor Kossikouma Agbégnénou. Son pari: le téléphone pour tous, accessible partout, et parfois gratuit en appel local. Une invention a vu le jour, grâce à un Africain, et promet des lendemains meilleurs pour le continent noir. l s’agit d’ un système de communication polyvalent sans fil, le PWCS ( Polyvalent Wireless Communication Systems). Une technologie étonnante qui permet, à partir d’une connexion haut débit satellitaire, de distribuer les trois services de téléphonie, internet et images, sans recourir au moindre câblage. Le pari de l’inventeur: le téléphone pour toutes les bourses, accessible partout, et parfois gratuit en appel local. Ce sera le téléphone des peuples, peut-être du siècle. Une création 100% africaine qui va désenclaver les zones reculées et rétrécir la disparité numérique entre riches et pauvres. Même certaines villes et campagnes dans les pays développés en ont bien besoin.

L’Afrique d’abord

Cette invention est une oeuvre du laboratoire Ka-Technologies, grâce à l’ingéniosité et à dix années de recherche de son directeur, un Togolais de la Diaspora africaine en France,Victor Kossikouma Agbégnénou. Ce génie africain est sur le point de bousculer les idées reçues, l’ordre mondial de la technologie. A son sujet, le rédacteur en chef d’un magazine français d’informatique souligne avec enthousiasme qu’habituellement, c’est le Nord qui produit et le Sud consomme. Le PWCS vient transformer cette voie à sens unique et, lorsqu’il sera opérationnel, sera un moyen de construire plus de ponts que de murs entre les peuples.

Rien ne prédisposait ce Togolais, la quarantaine, à devenir le père du système de télécommunication le plus ambitieux de ce début du 21ème siècle. Il est Vétérinaire de formation, diplômé de l’Académie de Moscou et de l’Ecole Supérieure de Maisons-Alfort en France. Ce docteur des animaux, déjà dépositaire de quatre brevets d’invention dans le domaine médical, a de quoi être fier de sa nouvelle trouvaille en télécom, le “PWCS.” Il montre à la face du monde que la thèse répandue selon laquelle des tares pèsent sur les épaules des noirs, les empêchant d’inventer, de retrouver leur situation antique des civilisateurs de l’humanité, est un mensonge sacré, un appât de type raciste.

Un pari difficile…

Le génie secourable, Docteur Kossikouma Agbégnénou, s’est vu proposer par des américains et suisses, le rachat de son brevet contre des millions de dollars. Mais il leur oppose un refus, son souci premier étant de privilégier le continent. “Ils sont venus me voir dans mon labo situé au sous-sol d’un immeuble sur l’avenue des Champs Elysées à Paris. Après de longues heures de discussions tendues, confie t-il, je leur ai dit que même si je dois vendre la license, ce sera assorti d’une condition indiscutable, celle qu’ils acceptent d’exploiter le produit partout ailleurs dans le monde, à l’exception de l’Afrique, me laissant ainsi le droit de traiter en personne avec le continent noir”. Mais face à l’intransigeance de ses visiteurs qui tenaient à retourner à tout prix à New York avec le brevet, l’inventeur a mis fin au deal : “Vous savez, je suis déjà dans une cave, je ne peux pas descendre plus bas”. Affaire close.

Ce rejet, inhabituel, n’est pas le plus facile des gestes à accomplir. “L’Afrique d’abord, Kossikuma après”, tel est le leitmotiv de cet homme dont le sens de l’intérêt général est sans commune mesure avec les habitudes courantes. Son pays d’origine, le Togo, est souvent cité comme un cas de corruption. Beaucoup d’autres sur le continent souffrent atrocement du même fléau. La terre qui l’a adopté, la France, n’est pas des plus vertueuses non plus. D’où alors Dr Agbégnénou tient-il cette intégrité morale et son détachement par rapport à l’argent ?

… Mais pas impossible

Le produit est prêt pour passer à sa phase industrielle. Mais l’Afrique qui a toujours plus d’un tour dans son sac semble lui réserver un sort pour le moins cocasse. Après plusieurs va-et-vient sur le continent, l’inventeur fait l’amère constat que les autorités africaines sont paradoxalement réticentes à ouvrir les espaces nationaux et à accorder les autorisations officielles nécessaires.

Docteur Victor Agbégnénou, loin de baisser les bras, continue de se battre bec et ongles pour forcer la main aux décideurs, afin que soit rendu opérationnelle sa technologie de pointe qui, selon les experts, a 30 (trente) ans d’avance sur les occidentaux. Dans cette histoire, on peut dire que Mère-Afrique, une fois encore, voit certains de ses propres enfants combattre ses intérêts supérieurs, au profit de riches commerçants étrangers.

Au nom de la fierté africaine

C’est peut-être le lieu d’en appeler à une forte mobilisation de tout ce que regorge encore le continent comme hommes de valeurs, des personnalités dont l’opinion compte ( Kofi Annan, Joaquim Alberto Chissano, Alpha Oumar Konare,Olusegun Obasanjo), le conseil des sages de l’UA, la Fondation Mo Ibrahim, les élites africaines de la diaspora afin qu’ils accompagnent la promotion de ce produit stratégique auprès des décideurs politiques du continent. Le “PWCS” fait certainement partie des symboles palpables de la renaissance africaine et de l’indépendance dont il est abondamment fait mention ces derniers temps.C’est aussi un apport non négligeable au combat contre la fracture numérique dont le beau continent est la plus grande victime.

Source: penseesnoires.info